Une étude menée par l’Institut arabe des directeurs d’institutions avec la participation de 1000 institutions du secteur privé a révélé que 40% des directeurs d’institutions en Tunisie n’ont apporté aucun changement à la structure de leurs institutions, tandis que le reste a ouvert de nouvelles missions .

Safaa bin Mabrouk, chercheuse et économiste à l’Institut arabe des chefs d’entreprise, a déclaré dans une déclaration à la radio “Express FM” aujourd’hui, vendredi 29 octobre 2021, que des études ont montré que 40 pour cent des propriétaires d’entreprise ont affecté des employés et des travailleurs supplémentaires au cours de l’année dernière, et la plupart d’entre eux sont des institutions moyennes et actives dans le secteur industriel. Et que 60 pour cent d’entre eux ont rencontré des problèmes dans l’affectation, y compris la pénurie de main-d’œuvre et un manque d’efficacité.

Ben Mabrouk a ajouté que l’étude a également montré qu’il y a 82 000 emplois vacants en Tunisie, et 60 pour cent d’entre eux sont pour des travailleurs qualifiés, notant que la plupart des travailleurs qualifiés sont actuellement orientés vers la retraite, et qu’il n’y a pas de jeunes pour leur succéder. , d’après elle.

Elle a déclaré que les jeunes tunisiens rejettent les emplois dans le secteur agricole, par exemple, et divers autres petits métiers et professions, les obligeant à recruter des personnes originaires de pays africains.